Médiathèque
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Ce partenariat d’exception entre le mouvement associatif des deux rives de la méditérannée de la ville de Garges-lès-Gonesse, permettra de mettre en commun nos efforts afin d’aboutir à une coopération sans limite dans le temps, tout en restant engagés à respecter les valeurs fondamentales de nos deux pays.
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Entretien avec Monsieur Olivier Le Cour Grandmaison sur jean Luc Einaudi
Nadia SEBA OTMANE , ingénieur de formation, elle est chef de projet au ministère des affaires sociales et de la santé.
Nadia est la Vice président de L’Organisation Solidarité Humanité Internationale (OSHI) qu’elle a rejointe a ses débuts en tant qu’association en 2018, devenue organisation internationale en 2021.
OSHI œuvre à l’application de la défense et de la promotion des droits des personnes de toutes origines et L’accès aux services de santé. Elle participe aussi à des actions humanitaires, internationales et à des formations pour partage d’expérience.
Allyah AUBRY, 18 ans, éleve de terminale générale en ses A St witz au lycée Léonard de Vinci.
Hobbies : boxe ex championne d’ile de France conservatoire violoncelle, cinéma, voyage, découverte d’autre cultures.
Youssouf Assoumani, 34 ans. Préparateur sportif, cet ancien sportif de haut niveau a défendu autant les couleurs de la France que des iles Comores, pays d’origine de ses parents, en coupe du monde de box anglaise. il fut plusieurs fois médaillé dont une en bronze au championnat du monde de kick boxing. Aujourd’hui il est également très investi dans l’accompagnement des jeunes à travers le milieu associatif.
Aitabbes yemeni, 33 ans. Natif de la ville, il étudie au Lycée Simone de Beauvoir à Garges ou il sera plus tard le président de l’association des étudiant.
Mordu de football, il avait rejoint l’équipe de Garges Djibson en division 1 de fustal , mais c est sa passion pour l’électronique et la téléphonie qui lui a tracé sa voie professionnelle.
Aujourd’hui, il a ses propres magasins de réparation de téléphone dont un à Garges
Hind AUBRY, 16 ans, demeure à Garges-lès-Gonesse, élu au Conseil Consultatif de la Jeunesse, actuellement au lycée Simone de Beauvoir à Garges, passionné d’arts.
Stèle commémorative du 17 Octobre 1961 à Garges-lès-Gonesse
Cette année 2022 marque le soixantième anniversaire de l’accession de l’Algérie à son indépendance. Pour apporter sa contribution à la préservation de la mémoire, l’OSHI a entrepris d’ériger une stèle, en ce 17 octobre, en hommage aux victimes de la répression, en 1961, d’une manifestation d’Algériens pour contester le couvre-feu imposé aux Nord-Africains.
De l’idée à la réalisation
En octobre 2021, après sa réunion avec les représentants de l’OSHI, M. Jimenez, maire de Garges-lès-Gonesse, donne son accord et annonce le projet d’installation de la stèle numérique du 17 Octobre1961 dans sa ville. En avril 2022, le chemin de la Justice a été retenu pour accueillir le site qui doit abriter cette stèle. En mai 2022, le chemin de la Justice est validé. Ce choix n’est pas fortuit. Cette symbolique − «chemin de la Justice» − reflète l’aspiration de tous à une justice équitable. Cette route mène aussi vers la place Nelson-Mandela, figure emblématique de la lutte pour la liberté et la justice.
En septembre 2022 débutent les travaux d’aménagement du site. Le socle est en béton désactivé de 15 cm. Les travaux ont duré une quinzaine de jours.
Fiche technique de la stèle
Suivant les recommandations du cahier des charges, les services techniques de la mairie ont tenu à respecter l’aspect paysager du site, qui se trouve dans une zone piétonne. Ils se sont chargés également de réaliser le socle recevant la stèle.
Le design de cette stèle revient au jeune Boukerzaza Mohamed El-Kamel, media designer. Du premier coup de crayon à la fin du croquis, l’émotion y était déjà. Le jeune homme a inclus le 17, date des événements d’Octobre 1961, ainsi que la colombe et le rameau d’olivier : symboles de paix.
Pourquoi la stèle a été construite en Algérie ?
La décision de la réaliser en Algérie relève de la volonté des Algériens à contribuer à cet acte hautement historique. Puis c’est au tour de M. Kerkbane, artisan, connu pour ses travaux et son sérieux, de rendre réel et palpable le projet.
Sahraoui Karima a pris le relais pour ajuster des symboliques très fortes : la céramique évoque la façade de la Seine, le verre sur les tranches figure l’eau du fleuve, le rameau d’olivier rappelle l’Algérie. La colombe de la paix insérée sur de l’inox poli à effet miroir apporte le symbole de la paix. A la demande du président de l’OSHI, une touche de zellige (morceaux de carreaux de faïence colorés) a été intégrée pour rappeler le savoir-faire de l’Ouest algérien et une représentation de l’olive, symbole de la Kabylie et d’une grande partie de l’Algérie, pour accentuer le côté traditionnel de l’artisanat algérien.
La bonne coordination entre les services de la mairie de Garges-lès-Gonesse, les membres de l’OSHI et la société IMK a permis de mener à bien ce projet.
A noter que le père de M. Kerkbane était l’un des manifestants, le 17 Octobre 1961. La réalisation de la stèle l’a replongé dans de douloureux souvenirs.
<strong>Stèle commémorative du 17 Octobre 1961 à Garges-lès-Gonesse</strong>
Cette année 2022 marque le soixantième anniversaire de l’accession de l’Algérie à son indépendance. Pour apporter sa contribution à la préservation de la mémoire, l’OSHI a entrepris d’ériger une stèle, en ce 17 octobre, en hommage aux victimes de la répression, en 1961, d’une manifestation d’Algériens pour contester le couvre-feu imposé aux Nord-Africains.
<strong>De l’idée à la réalisation</strong>
En octobre 2021, après sa réunion avec les représentants de l’OSHI, M. Jimenez, maire de Garges-lès-Gonesse, donne son accord et annonce le projet d’installation de la stèle numérique du 17 Octobre1961 dans sa ville. En avril 2022, le chemin de la Justice a été retenu pour accueillir le site qui doit abriter cette stèle. En mai 2022, le chemin de la Justice est validé. Ce choix n’est pas fortuit. Cette symbolique − «chemin de la Justice» − reflète l’aspiration de tous à une justice équitable. Cette route mène aussi vers la place Nelson-Mandela, figure emblématique de la lutte pour la liberté et la justice.
En septembre 2022 débutent les travaux d’aménagement du site. Le socle est en béton désactivé de 15 cm. Les travaux ont duré une quinzaine de jours.
<strong>Fiche technique de la stèle</strong>
Suivant les recommandations du cahier des charges, les services techniques de la mairie ont tenu à respecter l’aspect paysager du site, qui se trouve dans une zone piétonne. Ils se sont chargés également de réaliser le socle recevant la stèle.
Le design de cette stèle revient au jeune Boukerzaza Mohamed El-Kamel, media designer. Du premier coup de crayon à la fin du croquis, l’émotion y était déjà. Le jeune homme a inclus le 17, date des événements d’Octobre 1961, ainsi que la colombe et le rameau d’olivier : symboles de paix.
<strong>Pourquoi la stèle a été construite en Algérie ?</strong>
La décision de la réaliser en Algérie relève de la volonté des Algériens à contribuer à cet acte hautement historique. Puis c’est au tour de M. Kerkbane, artisan, connu pour ses travaux et son sérieux, de rendre réel et palpable le projet.
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<li>Kerkbane est manager de la société IMK de travaux d’architecture, chargée de la réalisation de la stèle en Algérie. Plusieurs séances de travail par visioconférence ont permis d’intégrer le travail réalisé par le designer Mohamed Boukerzaza. La société IMK, qui a réalisé l’œuvre en Algérie, a allié le verre, la céramique et l’inox poli.</li>
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Sahraoui Karima a pris le relais pour ajuster des symboliques très fortes : la céramique évoque la façade de la Seine, le verre sur les tranches figure l’eau du fleuve, le rameau d’olivier rappelle l’Algérie. La colombe de la paix insérée sur de l’inox poli à effet miroir apporte le symbole de la paix. A la demande du président de l’OSHI, une touche de zellige (morceaux de carreaux de faïence colorés) a été intégrée pour rappeler le savoir-faire de l’Ouest algérien et une représentation de l’olive, symbole de la Kabylie et d’une grande partie de l’Algérie, pour accentuer le côté traditionnel de l’artisanat algérien.
La bonne coordination entre les services de la mairie de Garges-lès-Gonesse, les membres de l’OSHI et la société IMK a permis de mener à bien ce projet.
A noter que le père de M. Kerkbane était l’un des manifestants, le 17 Octobre 1961. La réalisation de la stèle l’a replongé dans de douloureux souvenirs.
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